"Je me suis toujours rendu compte de la chance qui était la mienne", estime Guillaume Gomez, ancien chef cuisinier de l'Elysée
Après 25 ans passés dans les cuisines de l'Elysée, Guillaume Gomez revient sur son parcours dans un livre à paraître le 13 janvier. "J'ai eu cette chance de rencontrer les bonnes personnes et d'avoir pris les bonnes décisions", ajoute-t-il mercredi sur France Inter.
Après 25 ans passés dans les cuisines de l'Elysée, Guillaume Gomez revient sur son parcours dans un livre à paraître le 13 janvier. "J'ai eu cette chance de rencontrer les bonnes personnes et d'avoir pris les bonnes décisions", ajoute-t-il mercredi sur France Inter.
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Radio France
Publié le 31/12/2025 09:49
Temps de lecture : 1min
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Guillaume Gomez, ancien chef cuisinier de l’Élysée, invité de France Inter, le 31 décembre 2025 (FRANCE INTER / RADIO FRANCE)
"Je me suis toujours rendu compte de la chance qui était la mienne", estime mercredi 31 décembre sur France Inter Guillaume Gomez, ancien chef cuisinier de l'Elysée pendant 25 ans, un parcours sur lequel il revient dans un livre qui sortira le 13 janvier prochain, "À la table du destin : d'un rêve d'enfant au Palais de l'Elysée". Guillaume Gomez, qui a grandi dans un milieu modeste à Montreuil, a cuisiné pour quatre présidents français de Jacques Chirac à Emmanuel Macron, jusqu'en 2021. "Je dis souvent le mot 'chance' mais j'ai eu cette chance de rencontrer les bonnes personnes, d'être soutenu à chaque moment de ma vie et d'avoir pris les bonnes décisions", explique celui qui est désormais chef d'entreprise.
Pendant ce quart de siècle dans les cuisines de l'Elysée, il garde particulièrement en mémoire les repas de fêtes de fin d'année "offerts aux troupes en déplacement". "C'est toujours quelque chose d'émouvant parce que beaucoup de militaires ont une vingtaine d'années et mangent des rations pendant de longues périodes", souligne Guillaume Gomez. "En période de fêtes, le fait de leur ramener un petit peu de réconfort par un repas chaud, des plats spécialement préparés pour eux, c'est un lien avec [leurs proches] laissés chez eux", indique l'ancien chef cuisinier de l'Elysée.