La légende hollywoodienne du champagne
Associées au glamour et au cinéma, les bulles françaises ont longtemps imprimé leur marque sur la pellicule américaine. C’est moins le cas aujourd’hui, même si les Etats-Uniens restent très friands du pétillant hexagonal, qu’ils s’appliquent à désacraliser.
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Associées au glamour et au cinéma, les bulles françaises ont longtemps imprimé leur marque sur la pellicule américaine. C’est moins le cas aujourd’hui, même si les Etats-Uniens restent très friands du pétillant hexagonal, qu’ils s’appliquent à désacraliser.
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Le film figurait fin novembre parmi les plus visionnés sur Netflix. La romance Champagne Problems est à la boisson à bulles ce que fut la série Emily in Paris à la capitale française : une représentation aseptisée de ce vin effervescent, qui correspond à l’idée que veulent s’en faire les Américains qui visitent le 7e arrondissement de Paris ou les Relais & Châteaux de l’Hexagone.
Peu importent les qualités du film réalisé par Mark Steven Johnson, il entretient la légende du champagne, dont les Américains sont les deuxièmes consommateurs au monde, et il en rajeunit la légende. Car hormis un biopic féministe intitulé La Veuve Clicquot (Thomas Napper, 2024), les images hollywoodiennes sur le champagne commençaient à dater : c’était Humphrey Bogart dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) ou Marilyn Monroe dans Sept Ans de réflexion (Billy Wilder, 1955).
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