Plus de 83 000 mortiers d'artifice ont été saisis en France depuis la mi-décembre, annonce le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez
Le locataire de la place Beauvau a remercié les agents des douanes pour leur travail "tout au long de l'année".
Le locataire de la place Beauvau a remercié les agents des douanes pour leur travail "tout au long de l'année".
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France Télévisions
Publié le 31/12/2025 15:42 Mis à jour le 31/12/2025 16:00
Temps de lecture : 1min
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Le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez après un Conseil des ministres, le 17 décembre 2025 à l'Elysée. (DIMITAR DILKOFF / AFP)
Plus de 83 000 mortiers d'artifice ont été saisis en France depuis le 15 décembre, annonce Laurent Nuñez, ministre de l'Intérieur. "Ces saisies empêchent des actes dangereux et protègent nos concitoyens comme nos forces de l'ordre", ajoute-t-il dans un message posté sur le réseau social X, mercredi 31 décembre. "Je remercie également les agents des douanes qui, tout au long de l'année, ont procédé à de nombreuses saisies de mortiers d'artifices, saisies en augmentation significative par rapport à 2024 et notamment courant décembre." L'usage de mortiers d'artifice est interdit sur la voie publique, sans autorisation préalable de la mairie ou de la préfecture.
Pour sécuriser les festivités du 31 décembre, la prévention des violences est une priorité absolue.
Plus de 83 000 mortiers d’artifice ont été saisis depuis le 15 décembre.
Ces saisies empêchent des actes dangereux et protègent nos concitoyens comme nos forces de l’ordre.… pic.twitter.com/89KRzognQF— Laurent Nuñez (@NunezLaurent) December 31, 2025
Au total, 90 000 policiers et gendarmes seront mobilisés dans toute la France, dont 10 000 à Paris et dans la petite couronne, pour le réveillon du 31 décembre, avait déclaré mardi Laurent Nuñez sur France Inter. Il disait avoir transmis des "consignes de fermeté et d'autorité" aux préfets.
La commercialisation des mortiers est "réglementée, parce que les mortiers sont dangereux parfois pour les personnes qui ne savent pas les utiliser et qui se blessent", a également rappelé Agathe Foucault, porte-parole de la police nationale, interrogée sur ICI. "Et ils sont particulièrement dangereux quand ils sont utilisés comme arme contre les pompiers, mais également contre les policiers."